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If You Want To Be Rich, You've Got To Be A Bitch.

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absolut-strawberry

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Sarah Is Here.
I Am. You're Not.
You Will Love Her.
Coz Everybody Loves.

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We're Still The Same In Another Version.



De longues années se sont maintenant déjà écoulées sans qu'aucun souvenirs ne soient jamais venu nous meutrir.
J'ai eu le temps de faire du chemin et de laisser au Vent les souvenirs detenteurs de secrets douloureux. Mais le temps n'a pas suffit à effacer le Doux Portrait Majestueux de son être idéalisé.




" Qu'est-ce que le cerveau humain, sinon un palimpseste immense et naturel ? Mon cerveau est un palimpseste et le vôtre aussi, lecteur. Des couches innombrables d'idées, d'images, de sentiments sont tombées successivement sur votre cerveau, aussi doucement que la lumière. Il a semblé que chacune ensevelissait la précédente. Mais aucune en réalité n'a péri."
[ Charles Baudelaire ] _.
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#Posté le lundi 02 mars 2009 18:23

Modifié le jeudi 05 mars 2009 18:26

Lookin' For The Love Behind His Eyes.

Mood: In Love.
Listenin' to: A perfect Lie. *Le generique dans Nip/tuck*.

Je ne pensais pas que tout cela s'acheverait si rapidement, ça venait tout juste de débuter et déjà j'entrevois tout çacomme un souvenir lointain et fort plaisant. Je crois bien, qu'en si peu de temps, jamais je n'ai vécu les choses si intensément. J'ose croire, que cette fois-ci on s'aimait tous sincérement, mais d'une certaine maniére, tout ce qui nous procure du plaisir n'est qu'un moyen détourné d'auto-destruction. Et à présent, je ne parviens plus toujours à jouir de ces instants avec eux, surement car cette chaleur humaine qui nous unissait fut un temps, s'attenue depuis que les drames et nos loisirs nous ont devasté et éloignés. Le temps à fait son eternel travail. J'ose croire qu'effectivement je peux aimer une personne du même amour aussi intense sans ressentir l'usure du temps, ce qui n'amène qu'à une irremediable déception. Désormais, je trouve mon bien-être dans une solitude égaré. Lorsque le soir venu je me retrouve dans ma humble demeure, envelloppée dans les draps qui rechauffent le corps, à regarder les images fictives d'une vie idéaliste du petit écran qui défilent promptement devant mes yeux ecarquillés; munis de quelques pêchés dietetictiques que je me deverai plus tard d'expier. Je me retrouve à contempler ces situations qui ne m'eus jamais été donné de connaître ou dont les situations ressemblent étrangement aux notres. Je retrouve les mêmes personnages qui me sont si familier et qui ont au fil des annés obtenu ma sympathie. Et il n'y a alors plus rien d'autres que cette piéce vide, ce lit et cette écran imposant fournisseur d'images expressives et colorés sortis tout droit de l'imagination débordante de desillusionné faisant revivre leurs derniers espoirs à travers des scénarios grotesques. Et il n'y a de moments plus appreciables que lorsque je me dérobe aux contraintes encombrantes qu'imposent la vie en fuyant les responsabilitées. Je ne réponds plus au telephone, je fuis le passé que je croyais mort, je vide mon être de tout tourment qui me fus infligé le jour durant lors de ces moments simple, solitaire et rarissime.J'oublie. Tout durant l'espace d'un court instant apaisant. Je me soucie plus de ce SMS vide qui ne signifait rien, ou de ce message inquiétant laissé sur mon répondeur; cette abscence qui tourmente; les rires moqueurs des messes-basses chuchotés aux oreilles des indiscrétes; et l'eternel image de son souvenir qui défile.

Et là je me souviens que j'existe, et non uniquement par Don de Soi. J'existe et ce malgré le fait que leurs mémoires aies negligemment egaré mon souvenir.


Him: Did you still love Me ?
Her: That'z the problem.
After a silence, he said: "I hope u understand" But I Don't.


Amoureusement: Calm-down.
Pix: Look at Me, Myself & I.
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#Posté le jeudi 22 janvier 2009 16:16

Modifié le dimanche 25 janvier 2009 18:11

Sweet Dreams My L.A. Ex.

Mood: In The Sky.
Listenin' to: Babyshambles < You Talk.
& Lostprophets < Heaven For The Weather, Hell For The Company.
& The kooks < Naive + Sway.


Diable, Que tu es Beau de Dos face au Cimetière.


J'avais beau feindre d'être heureuse pour son bonheur, mon regard trahissait mes véritables emotions. Je n'avais que faire de son bonheur s'il ne se trouvait pas avec moi, bien que mes propos face à lui laissaient entendre le contraire. Je crois bien que personne n'y croyait reellement à ses airs enchantés. Et bien que parfois, j'essayais de croire en la sincérité de ce que j'affirmais, je n'y parvenais pas étant pourvu d'une voie intérieur qui me disais le contraire. Je ne voulais plus réellement être avec lui, de l'eau avait coulé sous les ponts depuis fort longtemps; mais à vrai dire ce qui me heurtait c'est qu'il jouisse si ardemment de ce qu'il m'avait arraché. Il avait failli à sa promesse et face à cette injustice n'avait subit aucune vengeance de quelques sortes que ce soit. Biensure je m'étais appliqué parfois à l'exercer grâce à l'usage de la parole à coups de sarcasmes persistants de ci de là mais ça n'avait guère grande valeur. Je m'étais pourtant promis de ne plus me laisser bercer par ses mensonges. Par tout leurs mensonges d'ailleurs, toutes leurs promesses, toutes leurs attentions, toute leurs gentillesses significatives, leurs mots degoulinant d'amour car dans cela ne résident que de l'hypocrisie dans l'espoir de parvenir à des fins perverses .Je savais que ce ne serait pas facile, que les beaux-parleurs affluaient et j'avais rapidement compris qu'un baiser ne pouvait pas mentir, et que seul un regard pouvait trahir. Ils me disaient trop naive, ils me croyaient trop fragile pour affronter le tumulteux combat ereintant des relations amoureuses. Mais c'est par cette innocence que je les avais tous bernés. Ils se sont tous laissé avoir par mes airs innofensifs et je prenais un malin plaisir à les voir se tourner en ridicule par la suite. Je les comprennais; car j'avais adopté leurs attitudes machiste et une fierté étrange me remplissait le coeur à chaque proie de plus. Je leur avais prouvé que je magnais l'art du mensonge comme un maître, que je savais jouer comme ils le faisaient. A vrai dire, c'est lui qui m'avait appris les ruses des mâles, et me livrait même quand il se faisait doux, quelques anecdotes et regles masculines. Mais en réalité, je m'étais réellement instruite en l'observant. Je n'ai jamais gagné face à lui, mais j'ai la compensation de savoir que depuis je n'ai jamais plus connu de défaites. J'aime savoir que j'ai berné mes dernières conquêtes car j'ai l'intime conviction que si je ne m'étais pas empressé de le faire, tôt ou tard, je l'aurais fortement payé. Et je ne désirais plus être en proie aux regrets, et avoir ce même sentiment d'impuissance et de trahison auquel on ne peut échapper. Je crois n'avoir jamais connu de douleur plus vive que lorsque je cherchais de l'Amour dans son regard. Mais ni sa façon de me regardait, ni même ses gestes, ne portait la marque d'une quelconque affection. Tout ce qu'il executait me concernant, n'avais un je-ne-sais-quoi de dédaigneux, et de présomptueux. ll n'avait même jamais pris le temps de me mentir et de masquer les vérités trop brutales qu'il m'infligeait. Et les trahisons se faisaient sans vergogne, librement comme si elles eurent été normales. Aucun d'eux ne m'a jamais surprise; Ils ne cherchaient que l'image plaisante d'eux-mêmes à travers l'Amour de la Femme; de l'orgueil. Ils réitéraient toujours les mêmes erreurs, sont tous aussi prévisible en tout point, atteint de la même maladie incurable de la Lacheté, avec un sens des valeurs morales inexistant. J'ai longtemps cherché une lueur d'intelligence qui rallumerait la flamme de la Passion endormis mais ils n'étaient en clin qu'à du stupre et la seule lueur qui éblouissait leurs mines, n'était autre que celle de la concupiscence. Et dans un Monde ou déceptions n'est plus que normalité, il était convenu que je m'y habitue non sans effort à mon tour. Après m'être résigné à cela et ce depuis fort longtemps; j'avais éprouvé le désir intense de jouer moi aussi me connaissant plus forte, plus maligne, doté d'un charme troublant; bien que ma fierté envahissante et cette puérilité exacerbante ne cessait d'impregner mon Jeu. Dés lors que j'eus tout compris concernant les Hommes, et les relations Humaines qui s'accompagnent, j'ai pu mieux me déclucter des situations dans lesquel ils se trouvaient aupris. Et j'ai rapidement effacé tout moment se rapportant à ce Jeu lassant; peu de souvenirs, aucune bribes de sentiments.. Et il ne reste plus rien de ces relations qu'un nom qui me rappelle vaguement quelque chose; et des visages qui défilent sans significations. Un peu de rancune tenace, une légere irritation, et j'enterre le Tout. La vengeance, les mensonges, les infidélités, l'Hypocrisie, les trahisons étaient devenu les règles d'Or dans ce tumultueux périple. Comment une telle beauté d'âme pouvait-elle être si haineuse, comment un Amour pouvait-il être si destructeur. Comment peut-on jouer à ce jeu cruel et dangereux.
______________________Maintenant je sais, que ça n'avait rien d'un jeu. Et ça ne m'amuse plus du tout.


Tout désirs, est une source de Tourment. Je l'ai appris à mes dépends.


They Just Let Me Down. Love Is Hebind Me.



Amoureusement: Yours.
Pix: Votre celebre Pete Doherty & son fidéle compagnon.
She LOVES Babyshambles.
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#Posté le vendredi 19 décembre 2008 17:00

Modifié le samedi 20 décembre 2008 08:15

We Do Not Make The Party, We Are The Party.

Mood: Surexitée.
Pix: Jeffree Star < Eyelash Curlers & Butcher Knives.


She Loves:

*Lostprophets -Ian- #.
*Jeffree Star. #
*The Kit Kat Bars.
*The Pussycat Dolls Show. #
*Have Fun.
*Have Sex.
*Fashion Weeks.
*Christmas Time.
*Summer -Sun-.
*The Verve.
*Maybe You.
* Paris Premiére.
*London In The Rain & British.
*Vogue & Citizen K.
*WEED & Speed.#
*Bitches.
*Maia Vodkaia :p.
*Britney Bitch.
*Pete D. & Amy Winehouse.
*Paris & Nicole in The Simple Life.
*Skins Parties.
*Pink & colors.
*Nietzsche writin'.
*Say "Nasdrovié" then Drink.
*Say: "That'z sex" in every moment.
*Say that "I'm in The Sky".
*Stay with them.
*Johnny Depp.
*Be cool; Be Me.
*Be Pretty; Be Skinny.
Helmutt Newton's Pix.
Tom Ford's Pub. #
Jewells & Perfume.
Sugar & Candy.
*A Clockwork Orange.
*Take a look at their ass.
*Friends The Sitcom <3.#
*Salvador Dali. #
*All The Boy'z like Him.
*Ben & Jerry's.
*Pin-up. #
*Nip/tuck.
*La Familia Escobar.
*Lounge.
*Cobra & Snake. #
*Shoes & High Heel. #
*Plastic Surgery.


*Tout les charactéres soulignés sont mes preferances dans la liste.
Aussi, tout les signes '#' présent à côtés de quelques élements, sont illustrés par des photos lorsque l'on clique dessu.

J'aime bien trop la Fête.
Que ce soit dans les suites d'Hotel ou l'on se fait incendier par les receptions à cause du bruit.
Dans les appartements de Pere & Mere qui finissent devastés.
Dans une boîte de nuit branchée.
Dehors toute la nuit à deambuler.
Sous l'impulsivité des idées saugrenues.
J'aime me reveiller le matin, les yeux rouges, la tête de Junkie, la gueule de bois, et les pupilles dilatées et apercevoir cette foule de tête familière recroquevillé dans un lit encombré. Me dire "plus jamais ça" mais ne pas resister à la tentation de remettre ça quand même. De me jurer d'arrêter, mais de parjurer aussi tôt.
De tout foirer.


La jeunesse c'est avoir l'esprit ancré de rêves, de croire que l'on peut tout, même sans rien; d'avoir la tête pleine de projets et de promesses car tout reste encore à faire. La beauté de celle-ci se trouve sans aucun doute dans ces moultes erreurs qui se trouvent être toujours réparable. Justifiable sous pretexte que nous sommes Jeunes, et qu'il réside en cela une certaine naîveté et insouciance. La Jeunesse; lorsque l'on est encore emporté par la folle passion qui mène nos choix indécis, lorsque toutes les facéties font rire. C'est être emporté sans notre réel contentement par l'elan fougueux et impulsifs des sentiments indomptables. Aux prise de questionnents perpetuelles, de choix incertains. L'âge ingrat ou tout agace et ou en même temps un rien nous fait frémir. La saveur des premières découvertes et des experiences. Tout cela avant que le temps ne ravage notre visage, qu'il nous arrache les gens que nous avons aimés et détruisent tout ce que nous nous sommes empressés de construire dans l'absurdité. Avant le goût familier du dégout, des désillusions. Avant que les erreurs ne se lisent sur les plis du visage et que l'on soit entourés de la graisse dans laquelle on s'enlise. La Jeunesse guidé par la Passion avant que la raison vienne decimer nos réels désires. La jeunesse. Un mot qui fait qui déchaîne les passions, attise la jalousie, rêver.



"I got my hair fixed, makeup done, I'm ready to go
Step in the club and you know I'm the show
Diamonds in my teeth are always a' glow
Blinded as I speak, mesmerized by my flow"

By Jeffree Star.



Amoureusement: Young Girl.
Pix: Jeffree Star. La Fan Attitude, cela fera cette année 3ans.
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#Posté le samedi 13 décembre 2008 14:24

Modifié le lundi 09 février 2009 14:10

Don't Stand So Close To Me.

Mood: Plus ou moins bien.
Listenin' to: Broken Family Band < It's all over.


Vous savez, je me suis longtemps dis que je me complaisais à la Souffrance. Car quelque part, tant qu'une émotion vehemente vous habite encore, vous déchire de l'intérieur, cela signifie que votre âme reste sensible, que vous ressentez toujours quelque chose. Sentir la douleur, permet de se sentir en vie alors qu'être eperduement vide de toutes sensations ou émotions, constitue la une de mes peurs qui sommeille en moi. Effectivement, je me suis longtemps repété avant d'arriver à cette conclusion grotesque, qu'un Vie sans sentiments, serait sans doute bien meilleur. Mais que serait une vie sans les déchirantes séparations, les querelles significatives, la douleur abyssale qui nous fait avancer, et nous rend profond. Une personne qui n'a guere connu de désillusions et de dechirure de la vie, n'est rien autre que niais. Et pourtant ils attirent souvent l'envie car il semble si calme, serein et impassible dans cette niaiserie qui leur ai si propre. Mais enfaite cela correspond juste au vide inquiétant qui habite le chétif . Alors le plus souvent, je me suis vu rassurée, d'eprouvé des maux si ennivrants, des peines si poignantes car ainsi je savais. Je savais que j'étais bien vivante et qui si toutes ces emotions se bousculaient en moi, c'étaient bien que je pouvais donner vie à tout autre choses. Je me suis souvent senti si ridicule d'accorder grande importance à des liens qui n'en avaient gueres, qui n'étaient ficellés que par de vulgaires cordages instables et usé et désormais je sais que cela m'a parmi de deceller le vrai du faux, les prêcheurs de la bonne parole qui sont corrompu à n'en plus pouvoir, des pauvres gens honnêtes desabusé qui font à présent partie d'une minorité. Je voulais, à l'époque, vider ma tête et mon esprit de tout questionnements inutiles qui torturent l'âme, mais je compris rapidement que c'étaient celles-ci que l'on détestent tant qui nous permettent d'avancer. Oh et comme j'en ai si longtemps voulu à ma conscience que j'ai cru éteinte quand tout à coup elle ressurgait pleines de scandale honteux pour m'accabler. Souvent m'a t-elle raisonné, m'a t-elle fait connaitre les limites lointaines des Hommes obscures. C'était un tout, rien ne pouvait se détacher du reste. Et je me suis surprise, à parfois même apprecier mes moments de débauche, de peine usités car c'étaient elles qui m'animaient encore, et qui me parvint parfois à me faire prendre conscience que je voulais du changement, bousculer brutalement mes habitudes. Voilà comment, aprés fort longtemps et beaucoup de resolutions plus tard, je compris tant bien que mal, tant surprise que décu, que les vicissitudes qu'engendrent la vie, et les mal poignants nous rendait bien plus profond, plus intelligent, plus lucide. Je crois bien que lorsque l'on fait le choix d'accepter d'être lucide -bien que ceci vous tombe decu sans jamais l'avoir réclamé- vous vous resignez à ne jamais vraiment toucher le bonheur. Ou avec un peu de chance hasardeuse, à le toucher du bout des doigts. J'oublierai tout. Tôt ou tard. La mélodie du son de sa voix, l'odeur exquise qui emanait de sa peau, leurs visages qui tenaient des airs dramatiques, le son de leurs rires. Tout partira avec les souvenirs et ne me laissera plus qu'un vide serein. Procédés ainsi. Dans la sereineté, l'apaisant, le calme divin tout en pouvant toujours être apte à sentir la douce passion. Pas la passion qui déchire, desabuse, non celle qui oeuvre pour le mal en faisant ressurgir les souvenirs lointains, mais celle qui permet d'apprecier quelques simplicités de ci de là, et quelques complexité sur lesquel travaillées avec interêt dans l'optique de toujours avancer. J'ai longtemps joué avec les abus pour toujours finir par m'en degouter lassivement à force d'en abuser. Mais il est necessaire de connaître le goût des ses elements interdis, pour savoir s'ils plaisent au palais. Je ne pense pas que je me verrais combler si je parvenais à me détacher de mes tourments -comme je l'ai expliqué ils sont fort necessaires et mon être ne serait plus mon être si on me destitué de mes tourments-, je me verrais fort aise si je parvenais à les dompter. Fier serais-je, et ravi. Ne pas se contenter des vulgaires faits que la vie veut bien nous laisser comme des décus, mais être capable de s'extasier devant ce qui a du mérite sans y lever la tête avec pédanterie comme si l'on était trop bon, trop brave, trop intelligent pour ces choses là. Je crois que si je parvenais à trouver un milieu qui me comvienne, en ayant explorer l'exés de prés tout en y étant revenu plus devastée et plus forte, en etant parvenu à dompté mes peurs et tourments, à ne pas m'extasier devant les stupiditées, tout en sachant apprecier la bonne subtilitées des facéties enfantine,. Que je parvenais à être Solitaire et entouré, arrogante et avenante, alors là je pourrais dire que j'ai réussi à arracher à la vie tumultueuses quelques bon instans prolifiques d'état divin de l'épanouissement. Même cela s'averait bien ennuyant s'il durait trop longtemps. Le paradis est une conception idéaliste qui a toujours sucité chez moi un rire nerveux et enroué de par l'idée sogrenue qui l'accompagne. De-mystifions le Paradis pour créer le notre. Je me fais une idée bien vicieuse, obscène, luxurieuse, libertine et luxuante de mon Paradis Personnelle. Il a pour certains, des airs d'Enfer. Mais il camoufle des bienfaits, des plénitudes qu'uniquement un oeil bien avisé pourrait deceller.



I[Imaginez que vous êtes lui. Imaginez que vous vous donnez soudain le droit d'être furieusement heureux. Oui, imaginez une seconde que vous n'êtes plus l'otage de vos peurs, que vous acceptez les vertiges de vos contradictions. Imaginez que vos désirs gouvernent désormais votre existence, que vous avez réappris à jouer, à vous couler dans l'instant présent. Imaginez que vous savez tout un coup être léger sans être jamais frivole. Imaginez que vous êtes résolument libre, que vous avez rompu avec le rôle asphyxiant que vous croyez devoir vous imposer en société. Vous avez quitté toute crainte d'être jugé. Imaginez que votre besoin de faire vivre tous les personnages imprévisibles qui sommeillent en vous soit enfin à l'ordre du jour. Imaginez que votre capacité d'émerveillement soit intacte, qu'un appétit tout neuf, virulent, éveille en vous mille désirs engourdis et autant d'espérances inassouvies. Imaginez que vous allez devenir assez sage pour être enfin imprudent. Imaginez que la traversée de vos gouffres ne vous inspire plus que la joie].


Amoureusement: Nicodème. Haha!
Pix: Moi. Mon Polaroîd. Le canapé. Nb: La position est trés peu flatteuse pour mes cuisses qui sont, je le jure, bien mieux en vrai.
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#Posté le vendredi 05 décembre 2008 15:19

Modifié le vendredi 05 décembre 2008 15:48

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